Un projet de Romain Chautard

Avec le soutien du Centre Départemental d’Information Jeunesse, et de la région

Poitou-Charentes.

En partenariat médiatique avec SUD OUEST, FRANCE BLEU, TMV LA ROCHELLE.

Janvier 2015, durant l’été austral, je serai avec votre soutien sur le sol argentin pour entreprendre l’ascension du Mont Aconcagua (6962m).

Votre aide précieuse ne me permettra pas seulement de gravir un sommet de plus, en effet, j’ai décidé de rendre cette expédition la plus significative possible en lui conférant un but écologique en plus du défi sportif qu’elle représente.

J’ai ainsi décidé de mettre en œuvre une action de nettoyage massive sur les pentes de ce sommet emblématique. Equipé de sacs poubelle ainsi que de tout mon matériel, je profiterai de ma présence là-haut pour faire un peu de ménage, tout cela évidemment en évoluant dans une atmosphère très froide et pauvre en oxygène sans aucune assistance respiratoire.

La plupart des gens qui ne pratiquent pas l’alpinisme sont loin d’imaginer que les montagnes les plus hautes du monde (Himalaya, Cordillère des Andes), se sont transformés avec les années et les nombreux passages de personnes, en véritables décharges à ciel ouvert.

Inacceptable ! Honteux ! On manque évidemment de superlatifs pour qualifier cela et le plus dur est de le voir en vrai.

L’action que je souhaite mettre en œuvre n’est pas une première, en effet, de nombreux alpinistes et associations se sont déjà entrepris à cette tâche ingrate mais nécessaire, et pourtant les déchets avec le temps n’ont jamais cessé de s’accumuler.

Cette expédition fera dès mon retour l’objet d’expositions photos, de conférences, d’interventions dans les établissements scolaires et de la réalisation d’un documentaire vidéo court métrage si possible.

Prenant depuis plusieurs années à cœur l’état d’insalubrité de nos montagnes, grâce à vous, je rendrai plus propres les pentes du colosse de l’Amérique sur mon passage et pourrai ainsi témoigner de l’état de ce sommet à l’autre bout du monde, peu connu et si éloigné des français, l’Aconcagua est comme la majorité des sommets mythiques du monde entier, victime de son succès, sans cesse souillé par des touristes et alpiniste irrespectueux.

C’est avec tout mon cœur, par amour de la nature et par passion de l’aventure que je souhaite que ce projet se concrétise.

http://tmvlarochelle.com/focus/romain-chautard-nettoyage-au-sommet

http://www.altissima.org/clean-expedition-a-laconcagua-avec-romain-chautard-6823.html

http://www.sudouest.fr/2013/06/29/assoiffe-d-aventures-1100239-

http://www.framtidinord.no/incoming/article8929635.ece

Contact:

Téléphone : 06 89 78 03 49

Mail : g.i_joe17@hotmail.fr

Page Facebook : Romain Chautard

L ’Aconcagua en bref

6962m

Le mont Aconcagua se trouve dans la Cordillère des Andes en Argentine dans le Parc National, du mont Aconcagua.

Cette montagne est réputée pour l’exigence physique et mentale qu’elle exige chez l’alpiniste, elle est également appréciée pour son climat et pour les beaux paysages que l’on peut y trouver.

Il s’agit là du plus haut sommet du continent américain ainsi que de l’hémisphère Sud.

Le « Colosse de l’Amérique », idéal pour s’entrainer à la très haute altitude, est un défi recherché par de nombreux alpinistes du monde entier.

En langue quechua, le terme Aconcagua pourrait traduire Mont Enneigé.

L’Aconcagua, c’est le cadre des histoires peu communes et de grands gestes de courage et d’héroïsme.

Dans ce milieu exigeant, l’homme se montre tel qu’il est, on ne trompe pas, les presque sept mille mètres à gravir représentent l’ascension psychologique et physiologiquement d’un sommet de 8.000 mètres.

Andinisme et éthique

Si le terme « alpinisme » est devenu synonyme d'exploit sportif, les sports de montagne de l’autre côté de l’atlantique et à l’autre bout du monde sont autant voire parfois plus synonymes de dépassement de soi et d’aventure extrêmes. On peut apparenter l’andinisme avec l’himalayisme pour la simple et bonne raison que ces pratiques sont d’une ampleur considérable par rapport aux pratiques de la montagne exercées en France, la cordillère des Andes est la plus longue chaine de montagne au monde, elle couvre la plupart des états sud-américains et bénéficie de climat différents allant du tropical au subpolaire océanique.

« La montagne c’est avant tout du plaisir et le respect des lieux ! »

L’andinisme en lui-même suscite une grande ferveur de la part du public, les nombreux livre racontant des histoires héroïques d’ascensions vertigineuses et de lutte pour la vie dans des endroits isolés du monde et de tout secours font de ces hauts lieux de l’aventure, le jardin des explorateurs et des aventuriers engagés. Les massifs montagneux les plus hauts et les plus difficiles ont toujours été l’apanage des meilleurs alpinistes et nombreuses sont les cordées qui se sont lancés à la conquête des sommets avant que les expéditions commerciales ne voient le jour.

La mort est parfois chose courante dans ces contextes, les drames ont toujours lieux et touchent souvent les alpinistes experts ou amateurs, il est certain qu’une bonne expérience de la montagne écarte certains risques pouvant s’avérer fatals.

Le célèbre livre « la mort suspendue » écrit par le célèbre alpiniste britannique Joe Simpson est un témoignage fort de cette relation intime entre les hommes et une montagne qui ne pardonne pas.

La montagne est un lieu de plaisir, d’amusement, un lieu devenu même familial selon les régions, il est certain que la haute montagne doit rester un sanctuaire de l’aventure, ainsi les gens qui arpentent ses lieux doivent se soucier des dangers auxquels ils s’exposent et doivent ainsi respecter une certaine éthique.

Les deux ascensions successives du mont blanc que j’ai mené antérieurement m’ont à chaque fois totalement bouleversé, ce sommet mythique, est sans cesse souillé par le flot des alpinistes, experts ou amateurs.

Ce sont toujours les autres qui sont sales…

Nous sommes à un niveau d’irresponsabilité actuelle ou il faut arrêter de mettre sans cesse la faute sur les touristes découvrant l’alpinisme qui sont très souvent emmenés par des professionnels. Les experts et habitués jettent aussi leurs déchets et oublient le côté « environnement » de cette pratique pour ne s’adonner qu’a la compétition.

Que pouvons-nous faire pour arrêter cela ? Il est désespérant de voir que les gens ne peuvent changer leurs habitudes et arrêter de jeter partout leurs déchets quel que soit l’endroit.

Conserver ses déchets dans son sac est à la portée de tout le monde.

L’entrée au parc national du Cerro Aconcagua demande une somme faramineuse pour accéder au pentes du colosse de l’Amérique, plus de 650 dollars par personne, et les pentes de ce sommet emblématique ne sont jamais nettoyés.

En ne faisant rien, on devient finalement complice…

Le gouvernement argentin fait un juteux profit de ces droits d’entrée et ne fait aucune actions de protection de l’environnement ou de nettoyage périodique.

Ne pas céder, l’insalubrité et le manque d’hygiène n’ont pas lieux d’être, ce n’est pas une fatalité.

Alpinisme, andinisme, pyrénéisme, himalayisme, tous les sports de montagnes doivent rester une source de plaisir aux pratiquants et aux observateurs extérieurs, la notion d’aventure ne doit jamais être délaissée et la propreté comme partout est à respecter.

Un sac plastique jeté sur une plage de nos régions met entre 100 et 400 ans pour se dégrader, le même objet jeté en montagne à plus de 5000m d’altitude mettra plusieurs milliers d’années à disparaitre s’il n’est pas récolté et recyclé.

Déroulement de l’expédition

Arrivée à Santiago de Chile (CHILI) début janvier 2015

Séjour court (3 jours) dans la capitale chilienne après arrivée en avion, départ vers la cordillère des Andes à l’issue par la route.

Arrivée à Mendoza (J+4)

Mendoza est la ville la plus proche du Parc National du mont Aconcagua, capitale de la province régionale du même nom. Elle est située au pied des Andes, à 987 km à l'ouest de Buenos Aires. Sa population est d’environ 120 000 habitants.

Accès au parc de l’Aconcagua (J+6)

Approche dans les paysages arides de la pampa argentine.

Accès aux pentes de l’Aconcagua

Pour atteindre le sommet par la voie normale, mon itinéraire sera le suivant :

Passage à Puente del Inca (2 725 m), petit village point de départ de l'ascension puis Confluencia (3 380 m), premier camp à l'intérieur des limites du parc Jusqu’à atteindre Plaza de Mulas (4 370 m), deuxième plus grand camp de base au monde après celui de l'Everest.

Par mesure de sécurité, je bénéficie de la possibilité de dormir à Campamento Canadá (4 910 m), un camp annexe situé sur un large aplomb rocheux dominant Plaza de Mulas.

A la suite de cela j’atteindrai Plaza Alaska (5 200 m), Cambio de Pendiente (5 300 m), puis el Nido de Cóndores (5 380 m), Camp II de l’Aconcagua et lieu légendaire de l’Andinisme.

Enfin, passage par Plamantura-Berlín-Libertidad (5 780 m), camp 3, considéré comme le plus grand dépotoir des Andes, puis par Piedras Blancas (6 007 m), alternative aux refuges précédents pour planter la tente et offrant un beau panorama sur la cordillère des Andes.

Je garde en option la possibilité d’un bivouac improvisé à Independencia (6 546 m), le plus haut refuge du monde, un bâtiment en ruine qui me permettra cependant de pouvoir bénéficier d’un abri sommaire en cas de météo trop mauvaise.

L’ascension pour moi sera la plus lente possible afin d’être le mieux acclimaté à l’altitude. La durée de mon expédition dépendra aussi du travail de nettoyage qui m’attend au sommet et sur les pentes de l’Aconcagua de manière générale.

Le Cerro Aconcagua est réputé pour être un sommet facile, d’un point de vue technique, c’est vrai, je ne rencontrerais logiquement aucune difficulté. En revanche, j’aurais à affronter des conditions climatiques extrêmes liées à l’altitude avec de forts vents et des températures atteignant les –30 degrés ainsi que plusieurs bivouacs à plus de 5000 mètres.

L’Aconcagua est également renommé pour son isolement et la longueur de son expédition, ce qui mentalement va être dur à supporter.

Je prévois pour le début de l’ascension, une réserve de vivres de course pouvant couvrir jusqu’à deux semaines en haute montagne, écartant ainsi une diète imprévue, consécutive à une situation délicate à haute altitude ( impossibilité de redescendre en sécurité, blessure…).

Atteinte du sommet (J+15)

Suite à une dizaine de jours d’ascension sans apports d’oxygène, bilan physiologique et respiratoire par une prise de différentes données, photos et vidéos, installation temporaire de la banderole des sponsors pour une prise de vue au sommet.

Opération de nettoyage du sommet jusqu’au camp de base « Plaza de mulas » (photo ci-dessous)

Après avoir atteint le sommet, j’entamerais la descente muni de sacs afin de récolter le maximum de détritus (sacs plastiques, emballages alimentaires, déchets en tout genre autres qu’organiques).

Départ de Buenos Aires fin janvier 2015 (J+30)

Après plusieurs jours de route à travers le pays, arrivée à Buenos Aires depuis Mendoza.

Séjour de repos ( 3ou 4 jours) et de visite de la métropole argentine, départ en avion depuis la capitale à la fin du mois.

Retour en France : témoignage, expositions, conférences

Dès mon arrivée sur le sol français après plus d’un mois et demi de séjour dont plus de deux semaines en très haute montagne, je m’attèlerai à mettre en place la suite de mon travail, véritable face cachée de l’iceberg pour que celui-ci sois finalement le plus durable au sens figuré et servent ainsi de témoignage pour tous.

Je prévois ainsi une longue période de Février à Juin de l’année 2015 où je serai présent à différentes manifestations sur le thème de l’aventure ou de l’environnement et dans différents lieux qui accepteraient également d’héberger une exposition photo.

Souhaitant par l’image dénoncer l’état insalubre des hauts lieux de l’aventure nous pourrons ainsi participer à un réel échange sur les alternatives possibles à un tourisme responsable et sur le fait d’apporter au public une autre vision du voyage et de l’aventure de manière générale.

Il serait souhaitable ainsi de créer une rencontre entre vous et moi afin de planifier tout cela d’un commun accord.

Je cherche pour cela activement des lieux d’expositions ainsi que la possibilités d’échange avec des élèves d’établissement scolaire (lycées, collèges, écoles primaires…)directement par le biais d’interventions en classe ou de conférences où nous pourrons ainsi débattre sur des sujets se rapportant au thème que je plébiscite dans ce projet.

Ma motivation est ancrée dans le temps, depuis plus de deux ans, j’ai ainsi mené plusieurs expéditions de ce type est ramène toujours la plupart de mes voyages à la cause écologique qui est mon véritable combat.

Je construis parallèlement à mes expéditions en haute montagne aux quatre coins du monde, un véritable projet de vie, réalisable d’ici 4 à 5 ans et qui je l’espère s’il aboutit m’amènera à tenter la première traversée intégrale de l’arctique en solitaire sans assistance mécanisée et en autonomie complète en passant par le pôle nord géographique, un projet jusqu’alors non réalisée sans moyens motorisés.

Une expédition de grande ampleur que j’envisage à ce jour et qui sera j’en suis sûr d’un impact important sur la cause du réchauffement climatique et l’état de la banquise arctique actuelle.

Disposant des supports et des tirages nécessaires aux expositions, ainsi que de mon véhicule et de mes outils, vous ne vous engagez en rien et m’apporterez toutefois une aide précieuse en me prêtant vos locaux pour une durée que nous fixerons au moment prévu.

Je reste à votre disposition pour toute question éventuelle.

Etre partenaire

Vos avantages ?

Vous disposez d’une couverture médiatique d’envergure en apparaissant sur mes supports de communication.

Vous valorisez votre image en soutenant un projet sportif et écologique de grande envergure.

Vous devenez acteur dans la préservation de l’environnement dans un lieu naturel authentique et original tout en amplifiant votre image de dynamisme auprès du public et des médias.

Vous pourrez ainsi voir véhiculer votre image pendant toute la durée de l’expédition et dans les médias après le succès de l’ascension.

Apparition de votre Logo par la suite, au cours d’exposition photos et conférences dans des lieux privilégiés.

Vos dons sont les bienvenus et je vous représenterai du mieux que je pourrai quel que soit la hauteur de votre participation financière.

Aussi les tarifs dégressifs sur du matériel ou un service, les prêts d’équipement spécifique, les bons ou coupons de remise, les titres de voyages en promotion me seront d’une aide précieuse.

Dans un souci d’excellence, je m’engage toujours à mener à bien ce que j’entreprends, en cas d’échec de l’expédition et si une solution alternative n’est pas envisageable, je promets le retour de vos dons si l’origine des problèmes qui motiverait un arrêt du projet serait autre que météorologique ou accidentelle.

Le Budget en chiffre

L’expédition

Il est évident que l’alpinisme reste un sport couteux considérant que l’équipement technique ainsi que l’habillement sont des gages de réussite et de confort améliorés.

Je possède à ce jour une grande partie du matériel nécessaire à cette ascension mais voici cependant une liste complète de ce dont j’ai encore besoin à ce jour pour mener à bien cette aventure engagée.

Il est dangereux et parfois douteux de donner des fonds sans avoir de liste détaillée des dépenses attendus par rapport à un projet, voici tout ce dont j’ai besoin, pour vous apporter plus de transparence.

Le principal ennemi de l’alpiniste est le poids de son équipement, entre 6000m et 7000m, un sac trop lourd rend difficile tout mouvements et facilite la survenue du mal des montagnes en cas d’effort intense.

La légèreté est le principal facteur dans le choix de mon équipement, le confort d’utilisation passe en second.

Habitué aux ascensions en très haute montagne depuis quelques années, j’envisage le déroulement de mes expéditions de la façon la plus extrême possible parfois n’hésitant pas à dépasser les limites du supportable dans les moments les plus durs (Bivouac rudimentaire, portage du matériel seul en paroi , pas d’assistance de guides, sherpas ou muletiers et aucune utilisation de masque à oxygène à ce jour)

Cette nouvelle expédition, encore plus haute et engagée sera l’occasion de concrétiser un rêve, en effet, j’ai projeté il y a deux ans de gravir le point culminant de chaque continent, une liste de sept sommets mythiques s’inscrivant dans la fameuse liste des SEVEN SUMMITS, un challenge auquel prennent part un bon nombre d’alpinistes dans le monde.

Liste des « 7 summits » :

Mont Elbrouz(Russie), Aconcagua (Argentine), Kilimandjaro (Tanzanie), Mc Kinley (Alaska), Mont Vinson (Antarctique), Puncak Jaya (Indonésie), Mont Everest (Népal)

Dépenses

Recettes

Etat/Avancement

Transport (1100 euros)

-billet d’avion aller/Retour Paris-Santiago-Paris 1000euros

Billets de train aller/retour La Rochelle-Paris-La Rochelle 100euros

Déclic jeune

Bourse René Caillet (1000eur)

En cours

Expédition (1340 euros)

-vivres de courses 250 euros

-Droit d’entrée au Parc National de l’Aconcagua 650 euros

-pastilles de purification de l’eau. 40 euros

-Filtre à eau 300 euros

-logement sur place 100 euros

- 3000 euros de matériel à prévoir (voir liste ci-dessus)

-Crowfunding

-apport personnel

-aide financière aux projets environnementaux attribuée par LEA NATURE

Recherches actives de dons sur internet mais peu de résultat pour le moment.

Expositions/Conférences (1400 euros)

-achat de 30 cadres photos

Noir alu, 80x100 400euros

-tirages photos grands formats 250 euros

-achat d’un mannequin d’exposition 100 euros

-impressions d’affiches 50 euros

-impressions de carte de visite 20 euros

-consommation carburant pour montage et préparation. 180 euros

-Assurances expositions (400 euros)

Projet Jeunes du CDIJ (1000eur)

En préparation pour être proposé.

Dossier à l’étude par le CDIJ.

Assurance voyage (90 euros)

Selon devis, entre 80 et 100 euros pour toute la durée du voyage

Apport personnel

Prévu, budget déjà mis de côté en prévision

Valorisations matérielles

-tente quatre saisons

-veste en duvet

-ensemble imperméable

-bâtons randonnée

-moufles grand froid

-lunettes de glacier

-réchaud à gaz

-tapis de sol gonflable

-sac de couchage grand froid

Sponsorin,

magasins de sport outdoor

-magasins de sport généralistes

Proposition faite en attente

Matériel manquant à acquérir

Matériel vétuste à renouveler si possible.

Demande faite auprès de professionnels de l’équipement sportif

Médias (1500 euros)

Appareil-photo reflex + objectif 18-270

1500 euros

Crowfunding ou sponsoring

En cours

Vous n'êtes pas de La Rochelle? vous n'êtes pas passionné de montagne et d'aventure comme je le suis?

Cela n'est pas important, le projet purement innovant s'inscrit dans une logique de développement durable en pronant le tourisme responsable au delà les frontières.

En me soutenant vous m'aiderez à nettoyer un endroit sublime et à rendre à la nature sa beauté qu'on apprécie tant. Vous participerez également à ma politique de sensibilisation par rapport à la pollution des plus hauts sommets.

Vous serez évidemment conviés au expositions Photographiques suite à l'expédition sur accés gratuit, conférences sur l'environnement et sur le tourisme responsable programmées au retour de février à Juin aux alentours de La Rochelle, participation Au Festival de l'aventure de Mauzé-sur-le-mignon (79) et au Salon PRAIRIAL à Aytré (17) consacré à l'Ecologie. Le film court-métrage que vous allez m'aider à développer sera proposé en visionnage au festivale du film d'aventure de La Rochelle.

Merci pour votre soutien, soyez généreux, en particulier avec la nature!

Aconcagua, nettoyage au sommet

Aconcagua, nettoyage au sommet