"Ils ont tué ma sœur pour ce qu’elle était. Aujourd’hui, ils cachent la vérité sous un turban. Mais moi, je suis prête à faire tomber les masques… en me glissant au cœur de la cour royale. Gagner la confiance de la reine. La tuer. C’était mon plan depuis douze ans… jusqu’à ce que tout bascule."

Je suis une autrice indépendante en fantasy et tous ses sous-genres. Je rêve de pouvoir offrir une édition collector à mes lecteurs, et ma prochaine romantasy me semble parfaite pour cette occasion ! Comme je me suis lancée l’année dernière après des années d’écriture en solitaire, j’ai toujours avancé les frais pour la publication de chacun de mes romans, de la correction à l’obtention de l’objet dans mes mains. Pour me permettre d’éditer un relié collector, c’est malheureusement un autre budget, et je crains de ne pas pouvoir l’assumer toute seule !

Si vous aimez les histoires de vengeance, de passion et de secrets interdits, Le Turban Rouge est fait pour vous. Ce roman, c’est l’histoire d’une jeune femme qui entre dans la gueule du loup pour se venger de la reine… et qui risque d’y laisser davantage que son cœur. 🌙🔥

J’ai vraiment hâte de la partager avec vous et j’espère que sa lecture sera aussi addictive que l’a été l’écriture pour moi.

Cette édition collector exclusive avec dorures, illustrations couleur, et plein de surprises ne sera disponible nulle part ailleurs.

Si la campagne échoue, elle ne verra jamais le jour. Ne passez pas à côté !

Soyez les premiers lecteurs à plonger dans cet univers, avant tout le monde. La sortie de cette édition reliée se fera avant celle du broché et de l'ebook pour les non-contributeurs ! Vous aurez donc le contenu de ce roman en exclusivité si vous soutenez la campagne 🤩

Mais de quoi ça parle ?

Bienvenue dans un royaume où la beauté cache des monstres, où la magie est tabou, et où une héroïne devra choisir entre sa vengeance… et sa survie.

Voici le résumé :

La reine a tué ma sœur, Alista, quand j'étais enfant. Elle a découvert son secret : Alista était une albide, une rareté aux cheveux noirs qui blanchissent sous la pluie. Tout comme moi. Aujourd'hui, le royaume tout entier est contraint de porter des turbans, sous les ordres de la reine, pour une raison que personne ne comprend vraiment. Mais beaucoup murmurent que cela a à voir avec les albides. Pourtant, je garde mon secret, déterminée à venger ma soeur un jour. Recueillie par une Mère d'Élégance, je suis formée à l'étiquette et préparée à intégrer la cour royale en tant que courtisane. Ce sera l'occasion parfaite pour frapper. Mais une fois choisie pour entrer au palais, mon désir de vengeance suffira- t-il à me protéger des dangers qui m'y attendent ? On dit que les princes sont aussi beaux que cruels...

À quoi ressemblera le relié ?

breb aucun idée ALBIDES La reine a tué ma Alista, quand Elle a découvert Alista était une albide, LE cheveux noirs blanchissent sous la plu Aujourd'hui, le entier est contraint d turbans, sous les ordres de a reine, pour une raison q comprend vraiment Mais beaucoup murmurent que avec les albides. Pourtant, je garde mon secret, à venger ma soeur un jour Recueillie par une Mère je suis formée ROUGE préparée intégrer la cour royale en tant que court l'occasion parfaite pour frapper. Mais une fois choisie pour entrer au palais, mon désir suffira-t-il à me protéger des dangers qui m'y at On dit que les princes sont aussi beaux que ALBIDES : 1

Quel jaspage ?

Y aura-t-il d'autres formats ?

Oui, le premier tome des Albides est d’ores et déjà prévu en broché et en numérique. Il sera, dans ces formats, disponible sur toutes les plateformes de vente et dans l’abonnement Kindle.

Le broché se présentera de cette façon :

CHARLOTTE DEGHILAGE ALBIDES : TOME 1 TURB ANROUGE ALBIDES : TOME 1 La reine a tué ma sœur, Alista, quand j'étais enfant. Elle a découvert son secret : Alista était une albide, une rareté aux cheveux noirs qui blanchissent sous la pluie. Tout comme moi. Aujourd'hui, le royaume tout entier est contraint de porter de turbans, sous les ordres de la reine, pour une raison que personne ne comprend Mais beaucoup murmurent que cela a à voir avec les albides. Pourtant, je garde mon secret, déterminée à venger ma soeur un jour. Recueillie par une Mère je suis formée à l'étiquette préparée à intégrer la cour royale en tant que courtisane. Ce se l'occasion parfaite pour frapper. Mais une fois choisie pour entrer au palais, mon désir de vengeance suffira-t-il à me protéger des dangers qui m'y attendent ? On dit que les princes sont aussi beaux que cruels. LE RBAN ROUGE

Et les illustrations ?

À titre d'exemple, voici des illustrations que vous pourriez retrouver dans la version collector (non définitives) :

Kingdom of Ata Kingdom Royaume de Draven Kingdom of Cige Melese

Et les goodies ?

Les visuels sont provisoires et non contractuels.

3 stickers dont 1 holographique 3 marque-pages Toules ces brebis n'avaient aucune idée de celle qu'elles venaient d'accueillir. ROUGE Des sticky-notes 1 carnet de note 1 tote bag avec une citation et un design

Au total, pour une campagne réussie à 4200 €, vous aurez :

-Un tote bag avec une citation extraite du roman et un design

- un carnet de note aux couleurs du roman

- 3 stickers dont 1 holographique

- 3 marque-pages

- Des sticky-notes pour annoter votre lecture et ne pas perdre vos passages préférés

- ATTENTION : pour les contreparties AVEC goodies, le marque page inclu sera un marque-page collector !

Si le budget est dépassé, d'autres goodies pourront s'ajouter 😍

Toutes les images présentes sur cette page sont réalisées par Charlotte Deghilage.

Un extrait ? Voici le premier chapitre :

Alista jeta son turban rouge sur le sol. Elle tituba jusqu'à se cogner contre la coiffeuse abimée collée au mur en bois sombre. Sa robe tombait sur ses hanches, dévoilant son buste brillant de sueur. Elle n'avait pas pris la peine de se rhabiller, et je me demandai combien de temps elle avait marché dans cette tenue. Je resserrai la couverture près de mon visage, m'étouffant presque, pour ne pas qu'elle me remarque. était habituel qu'elle rentre tard, mais cette fois, je sentais que c'était différent. Ma appuya ses mains sur la coiffeuse surchargée, pour observer son reflet dans le miroir sale et fissure à travers la semi-obscurité de notre petite chambre moisie. Elle semblait souffrir. Son souffle était court et ses yeux humides. D'un geste incontrôlé, elle balaya du bras ses affaires posées sur la coiffeuse. Je sursautai de terreur. Elle remarqua à cet instant que je ne dormais pas, contrairement à toutes ces nuits où elle rentrait après que je me suis endormie. Elle se tourna vers moi, les yeux écarquillés, et hésita un moment. Je remontai un peu plus la couverture sur mon nez avant de me pétrifier, incapable de bouger. Alista n'avait jamais été violente avec moi, mais ce il émanait d'elle une sensation de... danger. Quelque chose que les quelques mèches blanches collées à son front luisant mettaient en Depuis qu'elle était revenue pour s'occuper de moi après la mort de nos parents, c'était la première fois que je la voyais sans son turban dans de telles circonstances Avant cette nuit, jamais je n'avais aperçu ses cheveux. Ils étaient blanchis par La sueur devait les avoir révélés. Je n'avais jamais rien entendu de bon concernant ceux dont les cheveux blanchissaient au contact de l'eau. Oria.. souffla-t-elle. Soudain, je me rendis compte que je m'étais trompée. Ce n'était pas de la rage qui s'agrippait à elle, mais de l'effroi. Je voulus lui parler, mais une agitation à l'extérieur de notre masure m'en empêcha. Alista se tourna vers la porte si fine qu'on pouvait presque voir à travers. Je me redressai à demi en repoussant la couverture, sans comprendre la raison de ce raffut. -Fouillez toutes les maisons entendis-je au-dehors. L'attention de ma soeur se reporta sur moi. La peur plaquée sur son visage devenait contagieuse. Mon s'emballa. Que se passait-il? -Cache-toi, Oria. Elle appuya brusquement sur ma tête pour m'obliger à me renfoncer sur la paillasse sale et trouée. Puis, elle rabattit la couverture rêche sur moi. Plongée dans le noir, les sons me parvenaient avec plus de douceur. Mais le bruit de la porte qu'on arrachait, suivi d'un cri de ma et de plusieurs coups, me Je ne bougeai pas, cachée comme Alista me l'avait ordonnée. Les secondes me parurent des heures avant que le calme ne retombe dans la pièce. L'agitation se poursuivait à l'extérieur. Plusieurs de nos voisins se hurlant contre ceux qui venaient perturber notre tranquillité, huant mort le roi comme le grognement distinct d'un lion au milieu d' l'une cage Un autre bruit vint se mêler leur rugissement. Celui d'une pluie drue qui s'abattait sur notre village. Je me risquai à soulever un pan du tissu épais qui me dissimulait et observai les alentours. La lampe à huile qui me servait de veilleuse s'était brisée sur le sol. Le feu commençait à se propager. Son odeur m'agressa les narines si vite que je me levai d'un bond, protégeant ma bouche et mon nez à l'aide de mon coude crasseux. Ici, tout était tellement sale que l'incendie se répandrait vite. Je devais sortir au plus vite. Je jetai pourtant un regard à nos affaires éparpillées sur le sol et sur notre lit superposé. À la place de ma la couverture et l'oreiller en plume d'oie semblaient intacts, comme s'ils n'avaient jamais servi. Mes yeux se posèrent ensuite sur le turban rouge jeté sur le sol. Celui qu'elle portait toujours par temps de pluie, par forte chaleur, pour faire sa toilette ou se baigner. Je comprenais maintenant pourquoi. Les flammes se rapprochaient dangereusement de lui, alors je n'hésitai plus. Je courus, l'attrapai en vitesse, et me de la pièce déjà enfumée. Ce fut le seul objet que je pus épargner des flammes. La nuit m'inonda en même temps que le déluge. Le crépitement du feu avait l'attention de quelques voisins, qui vinrent mon secours. La pluie battante transperçait la nuit. Mon souffle se coupa face à sa fraîcheur, alors que l'odeur de la terre humide se mêlait celle de la La vieille Isolde m'attrapa dans ses bras trop maigres, et ses cheveux bruns me caressèrent le cou avant que je ne puisse me précipiter vers l'horreur qui se déroulait sous mes yeux. Ma les cheveux illuminés par la pluie, était maintenue par quatre gardes royaux. Ils tenaient ses bras écartés et sa tête en arrière, pour la rendre vulnérable, pour exposer son corps au monde entier. Alista me regardait. Ses cheveux, entièrement blancs à présent, attiraient le regard de tous les villageois, même de ceux qui s'affairaient à éteindre le Plusieurs murmures s'élevèrent autour de moi. Mais je n'y fis pas attention. Derrière ma et les gardes, un carrosse blanc et doré, étrangement épargné par la boue, était garé Les chevaux qui le tiraient étaient ronds et bien soignés. Ne regarde pas, murmura Isolde en me pressant contre son corps cagneux qui sentait la vieillesse. Je parvins pourtant à lui grâce à l'espace inévitable que laissaient ses doigts osseux plaqués sur mon visage. L'un des gardes dégaina son épée. cria quelque chose que je ne compris pas à cause du tumulte de la pluie et des flammes. Pui, il égorgea Alista. Non criai-je. Je fus trop brusque pour que la vieille Isolde me retienne. Je rapidement de ses bras et courus jusqu'à ma qui tombait à genoux. Elle se noyait dans son propre sang. Son corps convulsa plusieurs fois, mais ses yeux étaient déjà vitreux. Les gardes à mon approche, comme s'ils craignaient que je ne les contamine. On le bras avant que je n'atteigne Alista, m'empêchant d'avancer plus loin. Son corps tomba mollement sur le sol, battu par la pluie. Son sang se mélangea à la boue et ruissela jusqu'à mes pieds nus. Je reculai d'un pas, mais il me suivit, comme s'il cherchait à s'infiltrer en moi. L'un des gardes resta près du corps de ma Il observa un moment avant de se pencher vers elle, une épée luisante serrée entre ses doigts gantés. Sans vergogne, il attrapa la tête d'Alista par les cheveux et acheva de la séparer du reste de son corps. Le visage de ma me fixait dans une horrible expression, alors qu'elle pendait dans la main du garde. Horrifiée, je suivis du regard les gardes qui rejoignaient le carrosse. Deux d'entre eux à l'avant pour diriger les chevaux, et les deux autres à l'arrière en position de défense. La tête coupée de ma fut enfermée dans une boîte en métal. Par la fenêtre, je remarquai que quelqu'un m'observait au travers du rideau de pluie. Je repérai une peau si pale qu'elle semblait livide, et un sourire hideux en travers d'une bouche rouge sang. Deux aussi blanches que les nuages encadraient son visage parfait. La reine. Mon coeur se souleva quand elle m'adressa un sourire que je savais narquois. Puis, elle se renfonça dans son siège, me quitta des yeux, et le carrosse s'en alla. Les sabots des chevaux martelèrent le sol. Je me demandai un moment s'ils me piétineraient, dans le cas je déciderais de leur faire barrage. rentre te mettre l'abri, m'ordonna- Je dégoulinai. J'étais trempée, le turban de ma toujours fermement serré dans la main. Je me tournai vers Alista avant de baisser les yeux vers le tissu. était aussi rouge que son sang. Ma était morte. Et elle avait été privée de sa tête, le berceau de son Comment allait-elle faire pour trouver le bon chemin dans ? Je me sentis glisser dans une torpeur, un engourdissement qui m'éloignait de l'horreur de la scène. Des mains à l'écart, loin de la pluie, du feu et du sang. Je perçus des voix, des murmures autour de moi, mais tout semblait flou, La pauvre petite, murmurait-on Elle est toute seule maintenant. Isolde me serra contre elle et elle me berça doucement. Sa voix chevrotante tenta de me réconforter, mais ses paroles se perdaient dans le murmure assourdissant de la pluie. Je n'avais plus de famille. Alista avait été tout ce qui restait. Et désormais, elle n'était plus là. J'allais devoir apprendre vivre seule, hantée par l'assassinat soudain de ma Un assassinat que, je me le jurai, je vengerais un jour.